Les spécificités des cicatrices d’acné
L’acné est une maladie inflammatoire de la peau, souvent prédominante lors de l’adolescence, elle peut perdurer à l’âge adulte en laissant des cicatrices plus ou moins marquées. En fonction de l’atteinte de la peau, les cicatrices d’acné peuvent être rouges ou en relief.
La plaie est normalement remplacée par un tissu de granulation composé de fibres de collagène. Ces fibres remplissent la plaie et contribuent à réparer la zone endommagée, mais quand l’atteinte est profonde, la peau est alors dans l’incapacité de se régénérer et ce tissu reste alors visible.
Ces séquelles peuvent marquer durablement les patients, notamment sur le plan psychologique.
Les cicatrices d’acné rouges
Ces cicatrices d’acné sont causées par l’inflammation qui a accompagné le bouton. Elles sont plus lentes à partir notamment sur les peaux claires. Heureusement, ce genre de cicatrices est rarement définitif.
Les cicatrices d’acné en creux
Elles se caractérisent par un aspect en creux car elles forment des petites dépressions dont la taille et la profondeur sont variables. La cicatrice d’acné peut revêtir une forme ou un relief différents, elle peut être une zone de dépigmentation ou d’hyperpigmentation.
Quels sont les traitements des cicatrices d’acné
Rassurez-vous, des solutions existent ! Que vous ayez une cicatrice d’acné rouge ou autre, la régénération de la peau est indispensable. On peut lui donner un coup de pouce sans avoir forcément recours à un traitement au laser chez le dermatologue.
En travaillant sur différentes couches de l’épiderme avec un biopeeling comme le “jet système” ou encore avec des peelings chimiques, on peut travailler le
grain de peau afin d’améliorer sa texture. Des soins comme le micro-needling ou la radiofréquence peuvent considérablement aider à retrouver une meilleure qualité de peau.
En conclusion, n’oublions pas le rôle de la photothérapie en cas de cicatrices rouges, elle permet de calmer l’inflammation de l’acné et par conséquent procure une meilleure cicatrisation.
